Archives de catégorie : Alimentation

Tout ce qui touche directement à l’alimentation sauf les déchets traités spécifiquement.

SET – Changer d’Ère, l’Air de rien…

Un livre que l’on peut lire d’un bout à l’autre ou bien picorer lentement pour mieux le savourer…

Tout récent adhérent à Sucy Environnement et Transition (SET), je suis, je l’imagine, comme bon nombre d’entre nous sensible à ce qui se passe autour de nous en matière d’écologie.

S comme Sucy, je commence à peu près à connaître la ville et ses spécificités…
E comme Environnement je vois ce que cela signifie et j’y suis sensible…

Mais pour le T, j’étais plutôt  sur Transhumance…un peu le mouton qui suit peut-être par facilité, les informations émises par les médias et qui se laisse quelque peu trop manipuler par ceux-ci et leurs infos erronées voir fabriquées.

Il fallait que cela cesse et que je trouve un moyen de me documenter autrement. Grâce à SET j’apprends et comprends mieux le sens de la Transition mais je cherchais un support pour essayer de voir comment nous en sommes arrivés là et comment changer à mon modeste niveau les choses.

Le 24 novembre dernier, lors d’une visite  à « Radio France fête le livre », où écrivain(e)s et auteurs de Bd viennent présenter et dédicacer leurs ouvrages, je suis tombé sur celui de Valère CORRÉARD. Je passe devant une table et, un livre me fait un clin d’œil ; son titre m’interpelle : « Changer d’ère, l’air de rien…le guide pratique pour réussir sa transition ». Jeux « de mots-nyme », couleurs agréable, papier recyclé, je m’arrête, je feuillette, je blablate avec l’auteur et je suis séduit. La dédicace est très sympa, j’ai hâte d’en savoir plus !

L’objectif de ce guide est de donner à chacun la possibilité de s’approprier des initiatives ayant un impact social et environnemental positif, mais aussi des vertus sur le plan personnel, dans tous les domaines de la vie quotidienne.

Oui, bien sûr mais au-delà, il permet de mieux comprendre la réalité des choses, au travers d’entretiens de 2 ou 3 pages avec des experts (en langage clair et compréhensibles par tous), de données fiables de l’ADEME, INSEE, Commissariat au développement durable, etc…Bref, c’est une véritable source d’information qui donne envie de creuser encore plus pour en savoir encore plus.

Quels sont les 8 grands thèmes abordés :

  • Manger Sain et consommer responsable
  • Tous pour un quotidien zéro déchet
  • S’habiller chic et éthique
  • S’éclairer et se chauffer
  • Se déplacer en mode écolo
  • S’informer sans se faire manipuler (celui-là me plait bien !!!)
  • Être un citoyen actif
  • Prendre son temps

Quant au livre, il est Préfacé par Alain Bougrain-Dubourg, illustré par Nat Mikles, édité par « Rue de l’échiquier » et vendu au prix de 19 euros. 200 pages…À mettre dans toutes les mains.

Petit portrait de l’Auteur (extrait du site de son éditeur) :

Journaliste, Valère Corréard considère que la diffusion de l’information est indispensable pour faire de chacun d’entre nous un acteur de la société. Il est chroniqueur sur France Inter, où il présente chaque week-end « Social Lab », qui propose un coup de projecteur sur une tendance ou une initiative qui peut changer le monde et notre quotidien. 
En 2017, il a fondé ID, l’Info Durable, premier média en ligne d’information continue sur le développement durable.

Les sites où l’on peut retrouver l’auteur
ou réécouter ses rubriques sur France inter :

https://www.franceinter.fr/emissions/social-lab

https://twitter.com/valerecorreard

https://www.linfodurable.fr/

Tout cela n’engage que moi bien sûr et ce livre peut ne pas plaire à certain(e)s mais, quoiqu’il en soit il est une source d’informations précieuses. Personnellement, il a répondu à mes attentes et interrogations. Ne le cherchez pas à la Médiathèque de Sucy je ne l’ai pas trouvé…

(Sujet proposé par Pascal CASSIER)

SET – Atelier cuisine du Rond d’or du 14 Janvier 2019

Ce 14 janvier, nous étions encore nombreux à participer à l’atelier cuisine organisé par  SET et plus précisément par notre chère Abir. Nombreux en cuisine : on ne savait plus où donner de la tête ni où poser ses planches et ses bols. Et nombreux autour de la table, la prochaine fois il faudra peut-être pousser les murs 😊 ! Pas sûr que les derniers inscrits soient admis … 😉

Le temps de cette soirée, la cuisine du Rond d’Or a été très animée et parfumée de senteurs fraîches et épicées. Les légumes d’hiver ont été à l’honneur, c’est bien normal, avec notamment au menu des topinambours (à moins que ce ne fussent des héliantis, nous allons y revenir) et des choux, rouges, blancs et frisés (sans allusion aucune à la chevelure de certaines … 😊).

Avant d’aller aux recettes, toutes délicieuses bien sûr, prenons le temps d’un détour du côté des topinambours.

Le topinambour est-il un légume racine ?

Pas exactement. Si pour la carotte ou le panais on mange bien la racine, dans le cas du topinambour ou du gingembre, comme pour la pomme de terre, on mange des tubercules destinés à assurer le stockage des réserves par la plante.

Ce tubercule, donc, est de forme cabossée plus ou moins arrondie, de couleur rouge, violacée ou blanchâtre, et il est doté d’une chair ferme et croquante au léger goût d’artichaut. C’est la raison pour laquelle il est parfois appelé artichaut de Jérusalem. Pour autant, il n’est pas de la famille des artichauts mais de celle des tournesols.

Le topinambour a un proche cousin nommé héliantis (ou hélianthe tubéreux), proche en goût mais qui présente le grand avantage d’être beaucoup plus lisse (plus ovale), et donc plus facile à éplucher. Est-il vraiment nécessaire de les éplucher. Dans bien des cas, on peut éviter d’éplucher les légumes surtout s’ils sont bio et simplement les laver et les frotter avec une bonne brosse à légumes. Les topinambours peuvent ainsi être rôtis directement avec la peau, ou cuits à la vapeur et mangés à la cuillère comme on le ferait avec un œuf à la coque.

Le topinambour et l’héliantis ont mauvaise presse ?

Leur richesse en inuline fait qu’ils peuvent occasionner des désagréments intestinaux lors de la digestion. Il est préférable de les cuisiner fraîchement cueillis et d’éviter de les réchauffer pour limiter ces inconvénients. Vous pouvez aussi ajouter 1cc de bicarbonate de soude lors de la cuisson des légumes. Ne renoncez pas pour autant à en manger, allez-y progressivement pour que votre corps s’habitue. Vous en aurez des bénéfices car l’inuline est un prébiotique naturel très intéressant qui peut notamment améliorer la qualité de la flore intestinale….

Je ne résiste pas à l’envie de vous donner une dernière information, juste pour la culture 😊. Topinambours et héliantis étant de la même famille que le tournesol, ce sont les tubercules de jolies plantes à grandes tiges et fleurs jaunes… et oui, hélianths vient du grec helios qui veut dire soleil.

Et maintenant, place aux recettes…

Le velouté mystère de Véronique…

Le mystère est déjà levé, le velouté était aux topinambours (ou aux héliantis..) agrémentés de noix et parmesan 😊

SET ATELIER CUISINE 012019-18 le mystère

 

 

 

 

 

 

Pour cette recette, Véronique s’est inspirée d’un plat de fête initialement parsemé de coquilles St Jacques. Elle nous en a présenté une délicieuse version végétarienne revisitée.

Pour 6 à 8 personnes

  • 1 kg de topinambours
  • 1l de boisson végétale, par exemple « lait » de noisette ou d’amandes sans sucre ajouté
  • 120 g de noix hachées et quelques cerneaux pour la présentation
  • 120 g de parmesan en lamelles
  • 3g de racine de curcuma
  • 2 gousses d’ail
  • Sel et poivre à discrétion

Éplucher les topinambours, les couper en 4 et les cuire ½ heure à feu doux dans la boisson végétale avec les gousses d’ail et le curcuma. Après 20 minutes de cuisson, ajouter 100g de parmesan et continuer de cuire jusqu’à ce que les légumes soient tendres.

Ajouter les noix hachées et mixer le tout.

Servir avec quelques cerneaux de noix entiers et les 20g de copeaux de parmesan restant.

Le riz au chou à la libanaise d’Abir bien sûr …

SET ATELIER CUISINE 012019-14 abir

Pour 5 personnes, voire un peu plus 😉

  • 1,5 kg de choux (quelle que soient leur couleur ou leur forme)
  • 3 oignons
  • 1 verre de riz basmati complet
  • (si c’est la saison) : 3 tomates bien rouges
  • 3 bouquets de persils
  • 1 bouquet de Menthe fraiche (ou 1/2 verre de menthe sèche) (ça sentait vraiment bon en cuisine pendant la préparation 😊)
  • 2 cs de Mélasse de grenade
  • Jus d’une ou deux citrons
  • 1 cs de mélange 7 épices libanais
  • 1 verre d’huile d’olive
  • 2 verres d’eau

SET ATELIER CUISINE 012019-9 Ensemble

Éplucher, laver et couper les oignons en petits dés. Les faire revenir dans la moitié de l’huile d’olive (on chauffe l’huile dans la casserole sur feu vif d’abord puis on ajoute les oignons) jusqu’à ce qu’ils soient dorés.
Laver le/les choux et le/les couper en grosses lamelles puis en dés.
Laver et couper en dés les tomates si la saison le permet (nous avons fait sans bien sûr). Laver et ciseler finement le persil et la menthe.
Laver le riz, on peut éventuellement le faire un peu tremper, l’égoutter et l’ajouter aux oignons. Bien mélanger. Ajouter ensuite les épices et éventuellement les tomates et mélanger à nouveau.
Ajouter le persil, la menthe, la mélasse, le reste d’huile et l’eau et mélanger bien.

Terminer en ajoutant les choux et attendre sans mélanger le temps que l’eau commence à bouillir. A ébullition, verser le mélange de choux et le riz, puis baisser le feu pour que ça soit très doux. Couvrir avec un couvercle sans remuer et laisser 40 minutes le temps que le riz cuit.

Le chou devient tendre et on peut goûter au bout des 40 minutes pour s’assurer que c’est prêt.
Il ne faut jamais ouvrir le couvercle avant car la vapeur fait cuire le riz.

Les petits plus d’Abir ***
  • Comme nous avions beaucoup de la préparation au chou par rapport à la taille de notre casserole, nous en avons mangé une partie crue, en salade (choux, aromates, assaisonnement aux épices, à la mélasse, au jus de citron et à l’huile d’olive), et c’était vraiment délicieux.
  • Initialement, ce plat est un plat de fête et il se cuisine avec de la viande. Il s’agit même d’une garniture pour des choux. Pour en faire une version végétarienne, Abir a intégré le chou à la recette et a ajouté des protéines de soja texturées et réhydratées pour garder une consistance proche. Elle en fait aussi une version avec des pois chiches à la place des protéines de soja.
  • Pour préparer soi-même le mélange libanais des 7 épices, il faut mélanger à parts égales les épices suivantes :
    • Poivre noir moulu
    • Cumin moulu
    • Coriandre moulue
    • Cardamone moulue
    • Cannelle moulue
    • Clou de girofle moulu
    • Noix de muscade moulue OU curcuma

Avec autant d’épices et d’herbes fraîches, Abir a pris le plus grand soin de notre santé 😊 !

Les cookies moelleux à la châtaigne de Frédérique

Pour une vingtaine de cookies

  • 60 g de purée d’amandes blanches
  • 30 g de noisettes
  • 40 g de raisins secs
  • 30 g de chocolat noir à dessert ou de pépites
  • 50 g de sucre de canne complet
  • 60 g de farine de châtaigne
  • 2 bananes (200g) plutôt mures
  • 1 cc de poudre levante sans gluten

SET ATELIER CUISINE 012019-3 cookies

Hacher les noisettes pour obtenir des brisures.Si le chocolat est en morceaux, le réduire en petit morceau en l’écrasant au rouleau à pâtisserie après l’avoir enfermé dans un sac, ou le hacher au couteau.Dans un bol, écraser les bananes à la fourchette et mélanger avec la purée d’amande. Ajouter les raisins secs, les éclats de noisettes et le chocolat concassé.Ajouter le sucre sans trop malaxer, puis la farine et la poudre levante.

Préchauffer le four thermostat 6/7.

Étaler du papier cuisson sur une plaque de four. Prélever des cuillères de pâte et les déposer sur le papier cuisson en les espaçant un peu. La pâte s’étale très légèrement à la cuisson.Cuire environ 20 min et déguster tiède ou froid 😊

Ces cookies sont sans œufs, sans gluten et sans produit laitier, ils sont donc très digestes en plus d’être moelleux et délicieux. Ils se gardent quelques jours dans une boite en fer, si toutefois vous avez résisté à tout manger au sortir du four !

Vous pouvez les décliner de différentes façons, par exemple en remplaçant la farine de châtaigne par de la farine de quinoa, en utilisant des noix plutôt que des noisettes, des canneberges au goût plus acidulé que les raisins… et surtout suivez votre inspiration et le contenu de vos placards 😉

Toutes les recettes contenues dans cet article sont à retrouver dans l’environnement partagé de l’atelier cuisine cliquez ici.

(merci à  Frédérique Lisbet pour la rédaction de cet article et à Willy  Dapzol pour ses photos)

SET – Les ateliers cuisine au Rond d’or

Atelier du 11 décembre 2018

Premier atelier placé sous la houlette d’Abir, que nous remercions après plus de 2 belles années d’ateliers organisés merveilleusement par Marie-Claude.

Nous étions encore une fois nombreux à nous retrouver pour partager cette belle soirée animée et conviviale. Au menu, échange de recettes, de bonnes pratiques, de fous rires, de beaux souvenirs comme de beaux projets… et bien sûr, réalisation et dégustation des recettes du jour 😊 !

Avant de vous en dire plus, on pourrait dire que cette soirée était placée sous le signe de la patate douce, puisque sans se donner le mot, 2 des 3 recettes proposées la comptait comme ingrédient principal, en particulier le dessert… oui oui, vous avez bien lu… le dessert !

Que savons-nous de la patate douce ?

Originaire des régions tropicales, la patate douce a besoin de chaleur et de soleil pour pousser. On arrive cependant à la faire pousser en France… Ouf ! On ne commence pas notre repas avec une empreinte carbone trop lourde…

Si on voit le plus souvent des patates douces orange (enfin vous je ne sais pas, mais moi, oui) il en existe également des blanches, des jaunes et des pourpres. D’ailleurs, dans l’un de nos plats… il y en avait des blanches et orange… mais encore un peu de patience.

Elle se récolte en septembre et octobre puis se conserve quelques mois au frais à l’abri de la lumière. Ouf, c’est bien un légume de saison, et ce jusqu’en mars à peu près 😊 !

En apparence proche de la pomme de terre, elle a pourtant des propriétés nutritionnelles plus intéressantes. Beaucoup plus riche en fibres, elle a un index glycémique beaucoup plus bas, ce qui en fait un légume très intéressant. Elle est aussi riche en anti-oxydant, grâce à ses pigments colorés. De saveur un peu sucrée quand elle est cuite, elle s’utilise aussi bien en plat qu’en dessert. Et pour bénéficier de ses apports en vitamine C, sachez que vous pouvez aussi la consommer crue, par exemple râpée ou en carpaccio.

Je ne sais pas vous, mais moi, ça me donne faim tout ça 😉

Passons aux recettes… Enfin !!!

Pour la mise en bouche, Abir nous avait concocté une recette surprise… surprise de courte durée car notre nez a vite été renseigné sur certains ingrédients…

Recette surprise d’Abir

Pour la tablée (15 personnes, et presque 2 tartines par personne)

  • 1 pain intégral Montignac (ça veut dire que c’est un pain à index glycémique bas, et ça, c’est bon pour la santé !)
  • Gousses d’ail : plein
  • Beurre : un demi petit bol
  • Oignons : 2 gros
  • Un peu d’huile d’olive
  • Un petit bol de parmesan râpé

Couper et écraser de l’ail.

Ramollir le beurre en le travaillant au pilon, ou à défaut avec le fond d’un petit bol dans un grand. Ajouter l’ail au beurre ramolli et bien mélanger.

Tartiner les fines tartines de pain Montignac intégral.

Par ailleurs, hacher des oignons et les faire revenir à la poêle dans de l’huile d’olive.

Déposer les oignons fondus sur les tartines beurrées.
Saupoudrer de parmesan.
Passer rapidement au four sous le grill et déguster encore tiède … un régal !

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Après cette entrée haute en arômes, Anne nous avait concocté une soupe joliment colorée.

Soupe butternut & patate douce d’Anne

Pour 4 personnes (là, nous avions augmenté les proportions bien sûr)

  • 1 belle courge butternut
  • Des patates douces : 2 moyennes ou 1 grosse
  • Bouillon de volaille ou de légumes pour une version végétarienne : 1 cube

Éplucher les légumes et les placer et petits morceaux dans une cocotte.

Ajouter de l’eau un peu plus qu’à mi-hauteur (tout dépend si vous aimez la soupe fluide ou pas trop !).
Cuire à feu doux jusqu’à ce que ce soit tendre.
Mixer au mixeur plongeur.
Servir chaud cette soupe au goût très délicat et bien onctueuse.

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Variante :
On peut ajouter des carottes et/ou un fond de lait de coco.

Pour servir, on peut saupoudrer de gomasio (surtout si on a limité le sel à la cuisson pour prendre soin de sa santé), saupoudrer de levure maltée riche en B12, et donner quelques tours d’un moulin aux graines multiples (poivre, coriandre, genièvre, cumin…)

 

 

Pour terminer ce repas délicieusement commencé, Raymonde et Joël ont eu la bonne idée de nous initier à leur recette de Patate douce au lait de coco…

Patates douces au lait de coco par Raymonde et Joël, aussi surnommés les Bouboux

(à mon avis, c’est sans rapport avec leur recette du jour 😉)
Pour notre belle tablée :

  • 3 ou 4 patates douces épluchées et coupées en petits dés (pour la recette, nous avions des patates douces orange et blanches)
  • 1l de lait de coco
  • Sucre de canne blond, selon son goût

Couvrir d’eau et cuire à point à découvert (l’eau s’évapore ainsi en grande partie).

image3Couvrir de lait de coco et sucrer selon son goût (pour l’atelier nous avions utilisé du sucre de canne blond).

image4Cuire à nouveau à feu doux, 10 min environ, pour que les patates douces s’imprègnent bien et soient fondantes,servir tiède.

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Je vous recommande ce dessert qui a su conquérir les plus réticents de la soirée… 😊 !

Si vous voulez-vous aussi participer à ces soirées aussi délicieuses que chaleureuses et joyeuses, suivez notre actualité et/ou l’actualité de Sucy et pensez à vous inscrire. Il y a 1 atelier par mois jusqu’en juin.

D’ici là, bon appétit et bonnes recettes 😉 !

Pour celles et ceux qui auraient manqué les recettes de notre dîner végétarien du 5 novembre (à moins que l’article ne soit resté sagement dans le placard… 😉) les voici en prime :

Pot au feu végétarien de Marie-Claude

Couper en petits morceaux tous les légumes de saison, non épluchés s’ils sont bio; les mettre dans un grand faitout.

Pour cet atelier, au menu, nous avions des carottes, courgettes, morceaux de potimarron, poireaux, radis, concombres (les derniers de la saison), choux, tomates, lentilles, algues sèches, têtes d’ail entières et oignons.

Ajouter  des épices (cette fois-là, curcuma , tandoori, curry et poivre), des amandes (pour leur croquant et leur apport en calcium notamment), des dés de tofu fumé et des aromates (dans notre cas, graines de cumin, d’aneth et de fenouil).

Recouvrir d’eau et cuire à feu modéré jusqu’à ce que les légumes soient fondants.

Bien entendu, la recette sera ajustée au fil des saisons, des goûts et des légumes du panier.

Crème butternut à la mandarine de Frédérique

Pour 4 à 6 personnes

  • 300 g de courge butternut
  • 50 ml de lait d’amande
  • 1 cuillère à soupe bombée de purée d’amande blanche
  • Le zeste râpé d’une mandarine ou d’une ½ orange
  • 2 cuillerées à soupe de sirop d’agave (à ajuster selon son goût)

Faire cuire à la vapeur la chair de courge butternut coupée en morceaux.

Une fois cuite, la verser dans un bol et y ajouter les autres ingrédients.

Mixer au mixeur plongeur et laisser refroidir avant de servir.

Ne dites surtout pas à vos invités ce qu’il y a dedans avant qu’ils ne gouttent… après tout, c’est normal qu’une crème à l’orange ou à la mandarine soit de couleur orange 😉 !

Les petits gâteaux aux graines de tournesol et noisettes de Martine

(je ne suis plus sûre si c’est bien Martine qui a fait cette recette)

Ils sont parfaits pour accompagner la crème, mais aussi délicieux tout seuls

Pour une belle boîte de petits gâteaux, nous étions quand même 22 gourmands !!!

  • 100 g de noisettes broyées grossièrement
  • 200 g de graines de tournesol broyées grossièrement
  • 100 g de sucre roux ou complet
  • 2 œufs

Mélanger le tout et disposer des petits tas sur une plaque métallique du four, éventuellement recouverte d’un papier cuisson.

Cuire à 180° jusqu’à ce que les biscuits soient tendres mais dorés.

Il est dur de résister avant de les manger, ça tombe bien, ils sont délicieux tièdes 😊 ! On les accepte froids aussi, pas la peine de tout manger le même jour comme disait ma grand-mère…

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(merci à  Frédérique Lisbet pour la rédaction de cet article)

 

SET – AMAP – Aide au Jardins et feu de bois en musique

Comme membre de l’AMAP de SET, Sucy Environnement et Transition, nous aidons régulièrement notre association maraîchère des « Jardins de Thélème » comme ce dimanche 16 décembre 2018 après midi de 14h à 16h30. Au programme remettre quelques cordes maintenant la couverture plastique d’un des tunnels et récolter les légumes d’hivers.

SET-AMAP-2018-12-16

Après fête de Noël et du solstice d’Hiver auprès d’un grand feu pour nous réchauffer le corps et le cœur.